Nous avons ramassé ses affaires dans l’herbe
Éparpillé le sang en de longues rivières chaudes
Qui a reprit sa liberté
Et nos orteils déviaient la trame
De ces courbes saillantes, un labyrinthe de mets
Lents, finement décorés
L’homme était nu je ne comprenais toujours pas
Cet attachement qu’il avait montré pour sa vie
Son foie posé à ses côtés semblait dire « Je respire »
Partout la nature reprenait ses chances
Un corps humain à ses pieds déposé
Les oiseaux revenaient par groupes, la romance
Débutait à peine, tandis que sa main remuait
Je veux revoir son sexe, je ne vois que l’effort
Les innombrables trous que nous perçâmes cette nuit-là
Dans ce corps infirme, les lourdes bouchées de chair
Enterrées vives depuis nos gorges d’or
La lumière des aubes que nous avons aimée
Toucha ce matin-là un cadavre de ses doigts blêmes
Surprise d’abord, très vite consentante
Elle allait et venait tandis que j’immortalisai la scène
Pour étayer mon compte-rendu à la famille du condamné.
poussage(s) de coude :
plagiat?
Je suis découvert
Des commentaires de merde...
... mais toujours pas de mail, hein !!!
Ah ces philosophes, toujours à paraphraser les siècles précédents.
Re: Hommage
à ton avis?
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moche
ha ha c'est hyper rigolo mais j'adore...
bonne continuation ....